Depuis 2008, l'Afrique enregistre en toute discrétion
plus de 5% de croissance moyenne annuelle

... et un facteur bien particulier pourrait lui permettre de démultiplier cette croissance dans les années qui viennent

 

 

 

afriquemapCher Lecteur,

"J'ai trouvé ce caillou dans les trous que tu fais. Est-ce cela que tu cherches ?"

C'est à peu près par ces mots, prononcés par un berger de passage, que la fortune est arrivée à John Thoburn Williamson en 1939. Et l'histoire pourrait se répéter pour vous -- toutes proportions gardées -- dans les années qui viennent.

Je m'explique.

M. Williamson, voyez-vous, était ingénieur géologue. Et le caillou en question était un diamant, trouvé dans les terres arides de Tanganyika, en Tanzanie, après six années de recherches épuisantes... qui s'étaient jusqu'alors révélées vaines.

Les choses se sont ensuite enchaînées très vite pour John T. Williamson : sa concession de 1 300 hectares, enregistrée à la hâte, lui rapporta 50 000 $ le premier mois.

A sa mort, en 1958, John T. Williamson était à la tête d'un véritable empire du diamant.

La production totale de sa mine de 1941 à 2008 a été estimée à 20 millions de carats -- soit une valeur, en dollars actuels, estimée à trois milliards de dollars... et comprenant notamment un diamant rose brut de 54 carats offert en cadeau à la princesse Elizabeth lors de son mariage avec le prince Philippe en 1947.

A l'origine de la fortune de M. Williamson, il y a les diamants bien sûr... mais aussi et surtout l'Afrique.

Un continent qui n'a traditionnellement "pas de chance". L'éternel "retardataire" du développement, celui qui est "à la traîne" de l'économie mondiale.

Un peu comme John Williamson, qui a sué sang et eau dans les boues tanzaniennes pendant six ans, s'obstinant contre vents et marées, luttant contre les difficultés financières, la maladie, l'isolement... jusqu'au jour où il a trouvé le pactole.

Aujourd'hui, il se pourrait que ce soit l'Afrique qui ait trouvé son pactole, comme nous le verrons dans quelques lignes. En fait, il se pourrait bien qu'elle domine les gros titres du 21ème siècle.

Parce qu'une chose a radicalement changé pour l'Afrique. Désormais, la route de la croissance lui est grande ouverte... et elle pourrait rapporter à ceux qui se sont positionnés à temps des profits potentiellement spectaculaires.

 

Avouez que depuis que vous avez lu le mot
"Afrique", vous hésitez...

... Et vous avez de bonnes raisons pour ça : les médias grand public nous la présentent souvent sous l'angle de la pauvreté, de la famine, des guerres civiles et conflits ethniques, avec leur cortège d'atrocités.

Et pourtant... regardez un peu cette courbe du PIB de la région :

Graphique de la croissance en Afrique sub-saharienne

Alors que les économies développées peinent à dépasser les 1% ou 2%... la croissance de l'Afrique dépasse les 5,12% en moyenne depuis 2008. Certes, un creux s'est fait sentir en 2008 -- comme partout dans le monde... mais regardez la vitesse avec laquelle la zone s'est remise de la crise. Un rapport du FMI publié en octobre 2011 prévoyait pour 2012 une croissance de 5,8% !

En tant qu'investisseur, c'est là un phénomène auquel vous devez prêter attention. Parce que les choses ont changé en Afrique.

Démographie mieux maîtrisée, apaisement des conflits, afflux d'investissements étrangers... Cette croissance ne tombe pas du ciel, et elle ne fait que commencer, selon nous.

En vous positionnant maintenant, vous pourriez profiter du développement de l'Afrique pendant encore des années.

C'est là un point important, d'ailleurs : si vous êtes à la recherche de profits rapides, passez votre chemin. Ce dont je vous parle aujourd'hui, c'est d'investir pour le long terme, voire le très long terme... sur des valeurs qui pourraient doubler, tripler ou plus encore à mesure que les années passent. Mais pour cela, il vous faudra faire preuve de patience -- et surtout résister à la tentation de vendre à la moindre secousse, parce qu'il y en aura.

Nous allons vous montrer comment vous positionner sur cette tendance de fond, simplement, en limitant au maximum les risques. Les valeurs que nous avons sélectionnées pour vous sont toutes sur des marchés occidentaux rigoureusement réglementés, liquides et faciles à mettre en portefeuille.

Mais gardez à l'esprit qu'il s'agit d'un pari sur l'avenir... et que les accidents de parcours sont possibles, comme pour toute forme d'investissement.

Rassurez-vous : je ne serai pas là à vous vanter les mérites de cette idée d'investissement si nous n'avions pas de solides arguments prouvant le potentiel spectaculaire de l'Afrique dans les années qui viennent.

 

+87% d'investissements étrangers en Afrique
entre 2003 et 2010

Avant d'aller plus loin, permettez-moi de me présenter : je suis Nathalie Boneil. Je travaille aux Publications Agora depuis plus de sept ans -- j'en suis aujourd'hui la Responsable éditoriale. Et entre l'Afrique et moi, c'est une longue histoire...

Voilà en effet plus de 10 ans que je m'intéresse à ce continent... que je suis son évolution... que je surveille les opportunités qu'il offre aux investisseurs. Mais il me semblait toujours qu'il manquait quelque chose ; que le marché n'était pas encore "mûr" pour investir.

Et puis, lors d'un séjour à Zanzibar, en décembre 2011, j'ai su qu'une chose fondamentale avait changé. Cela se voyait dans les conversations des habitants du lieu... dans les boutiques qui jalonnent les rues... et jusque dans les travaux d'infrastructure à l'aéroport.

Ma décision était prise. Dès mon retour, je me suis mise en contact avec Jean-Claude Périvier, notre spécialiste des méga-tendances -- et de nos discussions est né le projet passionnant que vous allez découvrir dans quelques lignes.

 

Un visionnaire au service de vos investissements

Mais ne mettons pas la charrue avant les boeufs. Avant d'aller plus loin, permettez-moi de vous présenter Jean-Claude Périvier un peu plus en détails, afin que vous sachiez que vous êtes entre de bonnes mains.

Depuis toujours, Jean-Claude s'intéresse aux grandes tendances qui font évoluer le monde, l'économie et la société.

On peut dire qu'il a su appliquer ce sens affûté de l'anticipation dans sa vie quotidienne, puisqu'il s'est intéressé très tôt au secteur de l'informatique -- bien avant que ce dernier ne devienne un incontournable de l'économie. Il a ensuite fondé une SSII, toujours avec une bonne longueur d'avance sur le marché. Jean-Claude s'est également impliqué dans des activités d'intelligence économique.

Parallèlement, dès 1986, il s'est intéressé à la Bourse. N'étant de loin pas satisfait des
placements que lui proposait son banquier... il a décidé de prendre les choses en main lui-même.

Cela lui a réussi à tel point que son entourage n'a pas tardé à lui demander des conseils ! Jean-Claude a donc élargi son champ d'action en lançant sa propre lettre boursière, de circulation très confidentielle à l'époque.

Certes, c'est un parcours assez éclectique... mais que voulez-vous, Jean-Claude Périvier est un passionné !

Voir comment les fondamentaux planétaires se modifient... prévoir quels pays, quels secteurs,
quelles entreprises, quelles tendances vont se développer -- et lesquelles vont disparaître... dénicher LA perle parfaitement positionnée qui rapportera des gains à deux, voire trois chiffres... observer de quelle manière l'humanité avance et progresse... il a ça dans le sang.

Alors quand je suis allée le trouver en lui proposant de lancer pour les Publications Agora un service basé exactement sur ce principe... sa réaction ne s'est pas faite attendre. Parce que plus qu'une affaire de gains, pour Jean-Claude, c'est une affaire de passion.

C'est ainsi que Défis & Profits est né. Depuis, cette lettre a amplement fait ses preuves, avec des gains solides et réguliers de 70,50%, 42,86%, 61,51%, 51,52%... et même 120,41% pour n'en citer que quelques-uns.

Cette passion, ces connaissances, ce sens de la Bourse... Jean-Claude les met à votre service, mois après mois et semaine après semaine... pour vous aider à détecter des opportunités comme celles que je vais vous décrire dans quelques lignes.

Notre époque est absolument passionnante pour un investisseur un peu curieux du reste du
monde... et bien informé. Si vous m'avez lu jusque là, je pense que c'est parce que vous réunissez ces deux qualités. Et vous êtes donc particulièrement bien placé pour profiter des découvertes de Jean-Claude sur l'Afrique.

Si tout se déroule bien comme nous le prévoyons, elles pourraient se transformer en opportunités de doubler, tripler (voire plus) votre capital au cours des années qui viennent.

Voici pourquoi :

 

Il y a un nouveau venu en Afrique...et il change complètement la donne

Je vous disais il y a quelques lignes qu'à mon dernier séjour en Afrique, j'avais constaté un changement bien précis.

Un changement qui prend la forme de voyageurs chinois en nombre inhabituel dans les avions... de petites phrases du genre "ah, cette route ? Elle a été financée par les Chinois", ou encore "cet aéroport, les Chinois participent à sa rénovation", prononcées par les habitants du lieu... de téléphones portables portant systématiquement une marque chinoise...

Et on parle là de Zanzibar, qui est, si vous me permettez l'expression, un trou perdu au large de la Tanzanie.

La Chine, cher lecteur : voici le facteur qui est en train de changer la donne pour l'Afrique -- et ce pourrait bien être la clé de futurs profits spectaculaires pour un investisseur bien informé.

Voyons cela un peu plus en détails :

  • En 2009, la Chine a dépassé les Etats-Unis comme premier partenaire commercial de l'Afrique.

  • Le commerce entre la Chine et l'Afrique a connu un taux de croissance moyen annuel de 33,5% entre 2000 et 2008. Ce chiffre est en voie d'accélération, avec une hausse de 43,5% entre janvier et novembre 2010.

  • Les importations africaines en provenance de Chine ont grimpé de 23,7% en 2011, pour atteindre 73 milliards de dollars. En 2002, la Chine ne représentait que 4,5% des importations africaines ; en 2010, ce chiffre était de 16,8%.

  • L'importance de l'Afrique pour la Chine a augmenté -- ses exportations vers l'Afrique n'étaient que de 2% en 2002... et cette part a quasiment doublé depuis, à 3,8% en 2011.

  • Parallèlement, la Chine multiplie la construction d'infrastructures à des coûts défiant toute concurrence en Afrique -- routes, ponts, voies ferrées, centrales électriques...

  • Et entre 2000 et 2009, l'Empire du Milieu a annulé les dettes de 35 pays africains pour un montant de 1,6 milliard d'euros.

Tout cela absolument sans se mêler de la politique interne des Etats. Bref, le deal parfait : la Chine envoie argent, main-d'oeuvre, savoir-faire et produits bon marché à l'Afrique, sans poser de questions, et reçoit en échange....

... Quoi donc ?

 

Le monde en a besoin,l'Afrique en regorge

Des matières premières, bien entendu.

Je ne vous apprends rien en vous disant que le monde entier -- Chine en tête -- a un besoin croissant de ressources naturelles en tous genres.

Et l'Afrique n'est pas que le continent de l'or et du diamant. Fer, manganèse, charbon, gaz naturel, sans parler des ressources agricoles comme le cacao ou le café... ses sous-sols et ses terres regorgent de richesses tangibles dont notre monde a besoin pour continuer à fonctionner.

Il suffit de regarder les levées de capitaux par les compagnies africaines opérant dans le secteur des ressources naturelles : elles ont grimpé en flèche, augmentant de 240% en 2010 par rapport à 2009.

Ces capitaux ont été mis à bon usage, si l'on se fie aux découvertes faites en 2011 : du fer au Liberia, à Bopulu et Timbo... du manganèse à Ndjole au Gabon... du gaz offshore en Tanzanie... et j'en passe.

Mais depuis quelques années, l'Afrique est surtout devenue un nouvel eldorado du pétrole. Regardez ce graphique, il en dit long sur l'état de la production pétrolière en Afrique :

Graphique de la production pétrolière monde/Afrique en millions de tonnes

Les réserves pétrolières prouvées de l'Afrique subsaharienne atteignaient 132,1 milliards de barils en 2010.

Pour l'instant, le continent ne représente "que" 5% de la consommation quotidienne mondiale de pétrole -- mais d'ici 2013, il pourrait fournir 12% du ravitaillement pétrolier mondial.

Certaines estimations mettent même les réserves africaines au même niveau que celles de la Russie !

En tout cas, les faits sont là : l'Afrique possède en abondance ce que convoite la Chine -- son plus important client --, mais aussi le reste du monde.

Or le reste du monde, justement, n'a pas l'intention de se laisser couper l'herbe sous le pied par la Chine... et cela pourrait avoir des conséquences très, très bénéfiques pour les investisseurs.

Quelques explications s'imposent.

 

Un afflux de capitaux sans précédent

Selon un rapport d'Ernst & Young sur l'attractivité de l'Afrique noire publié en mai 2011, le nombre de projets d'investissements directs étrangers a bondi de 338 à 633 entre 2003 et 2010, soit +87% en sept ans.

Grâce à la prise de conscience par les investisseurs des opportunités qui se nichent forcément dans une zone en rapide développement, rassurés par le rebond de l'économie mondiale en 2010, les entrées nettes de capitaux dans l'Afrique subsaharienne sont passées de 35,8 milliards de dollars en 2009 à 41,1 milliards de dollars en 2010 (estimation), et la projection s'élève à 48,6 milliards de dollars pour 2011 selon la Banque Mondiale.

Et il y a plus intéressant encore... Même si les ressources naturelles et l'énergie sont la principale destination des investissements subsahariens, elles ne sont pas la seule.

Taux de croissance attractifs du PIB, populations en croissance rapide, classe moyenne montante... des opportunités de développement s'ouvrent dans les télécommunications et le commerce de détail, par exemple. Wal-Mart s'y est mis, en rachetant le distributeur discount Massmart, qui dispose de 288 magasins dans 14 pays d'Afrique subsaharienne.

Résumons. La Chine s'intéresse à l'Afrique. Les pays développés s'intéressent à l'Afrique. Les pays émergents s'intéressent à l'Afrique. Les multinationales s'intéressent à l'Afrique.

Même les gestionnaires de fonds s'y sont mis !

Un grand nombre de fonds privés centrés sur l'Afrique ont vu le jour. Sans surprise, c'est l'Afrique du Sud qui reçoit la plus grande partie de ces capitaux. Mais ce n'est pas la seule. Le Nigéria, avec sa population et son économie en forte croissance, le Kenya ou le Ghana, et d'autres encore, se sont vus courtisés par les investisseurs privés.

Et on ne parle pas là de petits fonds confidentiels -- plusieurs centaines de millions de dollars ont été investis, comme le montrent les quelques exemples ci-dessous :

Fonds privés dédiés à l'Afrique

Taille en millions de dollars en 2010

ECP Africa Fund

613

Pan African Investment Partners II

492

Aureos Africa Fund

381

Leapfrog Microfinance Inclusion Fund

136

Evolution One Fund

91

Africinvest Financial sector

43

Maintenant, la question, c'est...

 

Qu'attendez-vous ?!

L'Afrique pourrait être LE grand gisement de gains du 21ème siècle. Pour moi, la Chine est désormais dépassée. Il fallait y investir il y a des années de ça (ce que nous avions d'ailleurs recommandé à nos lecteurs à l'époque !).

L'heure de l'Afrique est venue, selon moi.

Et vous avez actuellement une opportunité en or de vous positionner pile au bon moment : quand la croissance est déjà bien entamée... mais reste encore confidentielle. Une "fenêtre d'opportunité" s'ouvre à vous -- avant que le marché ne s'aperçoive du trésor qui est à portée de main... et fasse grimper les cours.

Vous vous dites peut-être que c'est plus facile à dire qu'à faire. Les marchés financiers locaux sont franchement immatures, les frais sont énormes, le suivi est malaisé, la liquidité est faible... Bref, vous vous demandez sans doute pourquoi vous attirer dans un tel bourbier.

La réponse est très simple :

Il est possible de jouer l'Afrique à travers des sociétés opérant sur le continent -- mais cotées à Paris, Londres ou New York.

Certaines sont des pure player africaines, mais pas toutes. C'est d'ailleurs rassurant : à travers tout ce que je viens de vous dire, vous avez réalisé que, si le potentiel est énorme, les incertitudes et les risques sont à la hauteur.

Et pour vous aider à investir en toute connaissance de cause, Jean-Claude Périvier a réalisé pour vous un rapport exclusif.

Intitulé Le défi de l'envol africain, ce rapport a nécessité des mois et des mois de recherches... et compte pas moins de 54 pages d'analyses approfondies et de conseils affûtés à l'usage des investisseurs individuels prêts à se lancer dans cette aventure passionnante.

Surtout, Jean-Claude y a rajouté une sélection de recommandations concrètes et claires. Elles concernent des sociétés qu'il a triées sur le volet.

Elles sont faciles d'accès et idéales pour vous positionner sur ce que je considère comme la plus belle opportunité d'investissement des prochaines décennies... voire du siècle. (Si vous avez le temps d'attendre jusque-là !)

Un petit mot d'avertissement s'impose toutefois : ce type d'investissement doit être considéré comme une diversification et un pari raison né sur l'avenir, parce que le niveau d'incertitude est élevé. Au-delà de ses risques intrinsèques, l'Afrique a fait son entrée dans la mondialisation, et se retrouve donc dépendante de l'avancée ou de la récession mondiale.

Nous ne pouvons pas prédire l'avenir ni influer sur le cours de l'économie planétaire. La sélection de Jean-Claude a donc pour objectif de vous aider à éviter les pièges qui guettent l'investisseur individuel... et à vous positionner sur les secteurs qui nous semblent les plus prometteurs.

A commencer par celui-ci...

 

+260% de gains potentiels -- au moins :profitez du futur eldorado pétrolier !

Je vous le disais plus haut -- impossible de passer à côté du pétrole en Afrique. Ses réserves suscitent la convoitise, de la Chine aux Etats-Unis... et il y a de quoi : même si le pétrole facile d'accès est rarissime, il est infiniment plus aisé de forer en Afrique qu'en Sibérie ou dans l'océan Arctique.

C'est pour ça que Jean-Claude s'est intéressé au Brésil. Oui, vous m'avez bien lue... et non, le Brésil n'a pas soudain changé de continent.

Simplement, pour des raisons que Jean-Claude vous expliquera en détails dans le rapport Le défi de l'envol africain, il s'est intéressé à une petite société d'exploration brésilienne. Elle possède des concessions dans un pays africain de la côte Atlantique encore relativement "confidentiel" dans le secteur pétrolier -- ce qui ouvre un potentiel de plus de 200% de gain si tout se passe comme prévu.

Permettez-moi de souligner le fait que cette entreprise est à l'heure actuelle une société d'exploration, pas de production -- elle en supporte les risques. N'y consacrez donc pas la majorité de vos investissements, les résultats de l'exploration courant toujours le risque d'être décevants. Mais c'est aussi ce qui en fait la valeur potentielle !

Parce que notre pépite a dans ce pays africain un solide plan de forage afin de tester de nombreuses structures offshore. Ce plan, entièrement financé, devrait commencer à s'exécuter l'été prochain.

L'entreprise a collecté plus de 3 800 kilomètres carrés de données sismiques en trois dimensions, plus qu'aucune compagnie, grande ou petite, travaillant à l'extérieur de l'Afrique. L'équipe géologique a travaillé sur toute une série de modèles de systèmes sismiques, identifiant 25 grandes structures, toutes avec un potentiel en hydrocarbures.

Au final, elle pourrait ainsi se retrouver à la tête d'environ 7,3 milliards de barils estimés, en fonction des hypothèses de base. C'est considérable. De quoi jouer dans la cour des grands ! Et dites-vous bien que rien n'a encore vraiment commencé...

Si vous possédez des actions de la société, vous serez en première ligne pour profiter de ces perspectives hors du commun.

La phase exploration démarre à peine, mais le potentiel de pétrole à extraire est élevé.

Attention : il faudra attendre entre un an et un an et demi pour trouver quelque chose. Oui, il faut s'armer de patience, mais cela vaut la peine : selon Jean-Claude Périvier, le titre pourrait être multiplié par plus de 2,5 si le plan de marche se déroule comme prévu... et par la suite, toujours si les résultats de l'exploration sont positifs, le cours pourrait littéralement exploser.

Oh, et j'ai failli oublier : ce titre est coté au Brésil... mais aussi à Toronto, ce qui rend son accès plus simple et plus sûr.

Mais il n'y a pas que l'or noir, en Afrique...

 

Misez sur l'or gris grâce à une réserve de métaux exceptionnelle !

L'or gris, en l'occurrence, c'est le platine. Et l'Afrique du Sud en est désormais le premier producteur mondial.

Qu'est-ce qui fait du platine une idée d'investissement ? C'est un métal malléable, dense et conducteur. Le plus important, c'est que le platine est très résistant à la corrosion. Bijouterie, fil électriques, électrodes, défense, anodes, pipe-lines, pot catalytiques... les utilisations du platine sont multiples et concernent de nombreux secteurs.

Il n'est donc pas difficile de voir qu'il y a une forte demande pour le platine... tandis que l'offre baisse.

On estime qu'il reste un stock de 13 000 tonnes de platine sur Terre... un stock qui n'est pas extensible, alors que la demande mondiale a grimpé de 175 000 onces en 2011 par rapport à 2010, et que la consommation a même atteint un record de 1,96 million de tonnes dans la filière industrielle l'an dernier.

C'est une substance très chère à exploiter, à extraire du sol, à trier et à raffiner. Du coup, il est difficile d'augmenter la production.

Compte tenu des tendances de la demande, et de la difficulté et des coûts pour augmenter la production, il sera à mon avis quasiment impossible d'éviter des pénuries dans les deux prochaines années et au-delà. Il n'y aura pas assez platine pour satisfaire la demande.

Par conséquent, les prix vont certainement augmenter à partir de 2012 et continuer les années suivantes.

Autant de raisons qui ont poussé Jean-Claude Périvier à s'intéresser à une blue chip du platine... dont je ne vais pas vous révéler plus de détails -- sinon pour vous dire que Jean-Claude prévoit un premier objectif à +70%, puis un doublement du cours dans les années qui viennent... et qu'elle est cotée à New York et à Londres.

Tout le reste sur cet incontournable du secteur, vous le trouverez dans Le défi de l'envol africain... et vous verrez qu'un investisseur individuel a tout intérêt à se positionner sans attendre.

Je vous dirai dans quelques lignes comment faire pour recevoir ce rapport dans les plus brefs délais, mais d'abord, je ne résiste pas à la tentation de vous révéler un dernier aperçu de ce qui vous y découvrirez...

 

Les diamants sont éternels...et pourraient vous rapporter de 75% à 100% au cours des prochaines années !

Voyons un peu. Selon un rapport sur l'industrie mondiale du diamant publié en 2011 par la société de consulting et de management Bain & Compagnie, voici ce qui attend le marché dans les années qui viennent :

  • D'ici 2020, on estime que la demande mondiale de diamants devrait augmenter de de 6% par an -- soit un doublement d'ici la fin de la décennie.

  • La Chine et l'Inde sont des moteurs majeurs de cette hausse -- pour ces pays, la croissance projetée de la demande a atteint respectivement 17% et 13% entre 2000 et 2007... et cette tendance devrait se poursuivre.

  • Parallèlement, la production de diamants ralentit. Selon les estimations du rapport, elle ne devrait augmenter que 2,8% par an d'ici 2020 -- soit moitié moins vite que la demande !

  • De plus, les perspectives de découverte d'un nouveau gisement diamantifère majeur sont limitées pour la décennie qui vient. La dernière grande découverte remonte à 1997... et quand bien même il s'en produirait une, il faudrait entre quatre et 13 ans avant que le gisement puisse entrer en production commerciale.

Si l'on ajoute à tout cela le fait que 60% (en valeur) de la production mondiale de diamants se trouve en Afrique... on a là une équation extrêmement prometteuse pour un investisseur.

Mais comme toujours, la question est de savoir comment vous positionner pour en profiter au mieux !

Eh bien, Jean-Claude a sélectionné pour vous une société aux fondamentaux solides... avec un portefeuille minier bien diversifié... et surtout, sur des sites dont la production augmente.

Cette société a les dents longues... puisqu'elle projette de réaliser plus d'un milliard de dollars de chiffres d'affaires en 2019 -- et il ne tient qu'à vous de l'accompagner dans cette croissance potentielle en investissant sur le conseil de Jean-Claude ! Si tout se déroule comme prévu, vous pourriez viser un gain de plus de 50% dans un premier temps... et nous n'excluons pas un doublement du cours d'ici la fin de la décennie.

 

Saisissez votre chance...ou quelqu'un d'autre le fera !

Je vous l'ai dit, ces investissements sont pour le long terme... mais ce n'est pas une raison pour perdre du temps : positionnez-vous sans attendre sur ces six valeurs pleines de potentiel -- jusqu'à 490% à elles toutes.

Pour vous y aider, lisez sans attendre Le défi de l'envol africain. Ce rapport spécial ultra-détaillé vous dira tout ce que vous devez savoir pour tirer parti des opportunités que Jean-Claude a sélectionnées pour vous : vous y découvrirez son analyse approfondie sur l'Afrique, ses perspectives, ses dangers... et ses opportunités.

Vous y découvrirez aussi le nom des trois valeurs que je viens de vous décrire, pour des gains potentiels de 70%, 75% et même 260%.

Il vous révélera également toutes les raisons de ses choix, le seuil d'achat, le seuil de vente, le seuil de sécurité... jusqu'au code de l'action. Vous n'aurez plus qu'à agir.

Ce n'est pas tout : vous découvrirez trois autres recommandations pour profiter de l'envol africain.

- La première vous permettra de vous positionner sur un secteur en pleine expansion, avec un potentiel de hausse de 55%.

- La deuxième vous permettra d'explorer non plus les sous-sols de l'Afrique... mais bien ce qui pousse en surface, avec à la clé un gain potentiel de 30% à 50% minimum.

- Enfin, la dernière est un fonds d'investissement qui viendra admirablement compléter vos investissements africains. Soigneusement sélectionné par Jean-Claude parmi de nombreux autres ETF dédiés à l'Afrique, il vous aidera à investir sur l'ensemble du continent en une seule position... simplement et sans prendre de risques inutiles.

Vous trouverez donc en tout six recommandations dans le rapport spécial Le défi de l'envol africain. Six conseils précis, concrets et applicables dès l'instant où vous les recevrez... avec, à la clé, des profits qui pourraient se monter à 490% au total.

Et j'ai gardé le meilleur pour la fin : ce rapport vous est offert dès l'instant où vous décidez d'essayer Défis & Profits.

Pour le recevoir, c'est très simple : rejoignez dès maintenant les lecteurs de Défis & Profits. Jean-Claude vous prendra sous son aile pour vous montrer exactement comment transformer les tendances de fond et les marchés méconnus du globe en fortune potentielle.

Il vous fera entrer par la petite porte dans des opportunités d'investissement qui sont selon lui les plus exceptionnelles de notre époque. Il vous révélera des recommandations boursières aussi passionnantes que profitables. Rappelez-vous que les six valeurs dont je vous ai parlé dans ce message pourraient déjà vous rapporter à elles seules des plus-values potentielles de 30%, 75%, 70%, 55%, et même 260%.

Dans quelques lignes, vous pourrez vous inscrire pour recevoir ce rapport exclusif. Mais d'abord... permettez-moi de vous montrer ce que vous recevrez exactement avec Défis & Profits.

 

Avec Défis & Profits, investissez en toute connaissance de cause dans les méga-tendances de demain

A partir d'aujourd'hui, vous avez la possibilité de vous immerger, directement et simplement, dans le monde passionnant des marchés d'investissement internationaux.

Rappelez-vous : alors que la plupart des gens pratiquent la politique de l'autruche... et acceptent les gains limités qu'offrent les marchés "développés" dans les conditions actuelles... vous pourriez profiter des opportunités les plus brûlantes -- et les plus discrètes -- du moment.

Jean-Claude est constamment sur le qui-vive, guettant les nouveaux gisements de gains pour les investisseurs. Il fait des recherches approfondies sur des secteurs ignorés... des tendances encore "dans l'oeuf"... des pays auxquels personne ne prête attention -- pour l'instant.

De la géopolitique à l'écologie en passant par les sciences, aucun domaine n'échappe à sa quête de valeurs lucratives et solides.

Et en tant que lecteur de Défis & Profits, vous serez le bénéficiaire direct de tout ce travail. Ces recommandations, ces stratégies et ces analyses, vous les recevrez sous une forme claire, simple et précise -- de sorte que vous n'aurez plus qu'à vous positionner.

Voici très précisément tout ce dont vous bénéficierez :

• Un bulletin mensuel complet envoyé par e-mail (puis par courrier) identifiant les grandes tendances et les enjeux qui émergent, ainsi que les opportunités qu'elles ouvrent pour les investisseurs. Je vous ai parlé de l'Afrique -- qui fera partie des thèmes récurrents de Défis & Profits. Mais Jean-Claude explorera pour vous bien d'autres gisements de profits potentiels : agriculture, approvisionnement énergétique, infrastructures, pharmaceutiques, nouveaux enjeux géopolitiques... de nombreux investissements passionnants vous attendent.

• Bien entendu, Jean-Claude ne se limite pas à l'analyse pure : chaque mois, il analyse pour vous une valeur bien précise qui vous permettra de vous positionner sur le secteur exploré. Des conseils simples, clairs et sans jargon incompréhensible. Vous recevrez le seuil d'entrée, l'objectif -- et jusqu'au code de la valeur. La seule chose qu'il vous restera à faire, c'est vous positionner.

• Toujours pour vous permettre d'avoir un portefeuille optimal quelles que soient les circonstances, Jean-Claude vous enverra tous les vendredis un e-mail de mise à jour : il vous révélera les dernières évolutions du portefeuille et les actualités concernant les tendances auxquelles nous nous intéressons, avec des analyses complémentaires et des conseils concrets pour faire évoluer vos positions au mieux.

• Tous les trimestres environ, vous recevrez également un rapport exclusif sur une opportunité particulière. Il pourra s'agir d'une valeur attirante mais s'éloigne un peu de nos thèmes centraux, ou d'une valeur à laquelle Jean-Claude aimerait accorder un peu plus d'attention, et analyser plus en profondeur -- en tout cas, il s'agira d'une recommandation précise, concrète, et qui ouvrira de nouveaux horizons de gains potentiels !

Et pour que vous puissiez commencer sur le bon pied, vous recevrez aussi un dossier géopolitique exceptionnel, bourré de conseils et de recommandations, qui vous permettra d'avoir à disposition une analyse détaillée des tendances qui changent la donne en ce moment même partout dans le monde.

Ce guide justifie à lui seul de vous inscrire à Défis & Profits puisqu'il est basé sur les connaissances que Jean-Claude a accumulées durant de longues années de travail. Il s'intitule Les Grands enjeux du 21e siècle et comment en profiter.

Il s'agit d'une étude géopolitique, économique et financière du monde d'hier, d'aujourd'hui et de demain. Jean-Claude y identifie pour vous les principales tendances de notre siècle, leur potentiel, mais aussi les dangers qu'elles représentent pour votre argent.

Bref, une lecture indispensable pour tout investisseur aujourd'hui.

 

Cette fois-ci, , je suis convaincue que l'Afrique est sur le point de connaître une ascension spectaculaire. Ce ne sera pas en 2012, ni sans doute en 2013. Je ne vous propose pas des profits rapides, ni des investissements parfaitement sûrs.En revanche, je suis certaine qu'un investisseur qui se positionne maintenant a de bonnes chances d'accéder à un potentiel de croissance qui ira en se développant pendant encore des années et des années... avec à la clé, des gains qui pourraient atteindre plusieurs centaines de pourcents.

 

Source L'Edito des Matières Premières and co

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